4ème de couverture :
La jeune Liz danse sa vie sur les praticables de gymnastique. Elle communique avec son corps qui danse, sublimé par le ruban qu’elle manie magnifiquement et se plaît à imaginer de nouveaux enchaînements virevoltants. Mais un jour, au cours d’une compétition de haut niveau, contre toute attente, elle trébuche. Un trop lourd secret qui entache ses songes l’a fait chuter.
Églantine, professeur de Lettres en collège, ne sourit plus. Pas parce qu’elle n’apprécie pas son métier. Au contraire, elle aime par-dessus tout transmettre sa passion pour les mots à ses élèves. Mais un accident lui a ôté son sourire. Si elle transmet sa passion pour les mots, son corps qui a par le passé chu se trouve désormais comme cristallisé. À qui d’autre Liz pourrait-elle donc bien confier l’indicible si ce n’est à cette douce professeur de Lettres qui a elle-même renoncé à ses chaussons de gymnastique dans sa jeunesse ?
Loin d’être un récit de souffrances, Liz, grâce à l’écriture acrobate de son auteur, est un hymne à la vie. Les mots semblent réaliser de savants entrechats et joliment s’entremêler sur le praticable des pages. Dès les premières lignes, l’écrivain nous convie dans un univers onirique et poétique, joyeusement mélancolique. Dès lors, ne reste plus pour le lecteur qu’à se laisser guider et à doucement savourer la superbe alliance des mots qui tourbillonnent sous ses yeux.
Laurine Mondon
Lisez les 3 premières pages du livre en cliquant ici.
Critiques
La critique du roman sur le site Litzic est à lire ici.