Archipels Yin

Couverture Yin recto pour blog4ème de couverture :
Se lancer dans la lecture de Yin, c’est partir à l’aventure.
À la rencontre de personnages hauts en couleur, qui se croisent, se sont croisés ou se croiseront dans un monde neuf et violent, déjà déglingué ; un monde imaginaire et pourtant familier ; un monde de contrastes entre la lumière brûlante de midi et les nuits torrides, entre la ville corrompue et la forêt tropicale chaude, humide et dense, lieu de fantasmes avoués ou non, même sous la torture.
À la rencontre aussi d’une écriture exigeante, touffue, charnelle, où les mots vous happent pour ne plus vous lâcher, où les phrases vous embarquent dans un flux plus puissant que celui du fleuve Eriol.
Yin est un livre sur l’absence (l’absente), sur le travail possible ou non de la mémoire, sur la possibilité ou non de se reconstruire lorsque tout a été détruit, réduit en cendres, et que le passé ne revient que par bribes confuses. Yin est un livre à la beauté sauvage et farouche, qui, à l’image de la jeune Ixchel, ne se donne pas immédiatement, ne s’apprivoise qu’à force de persévérance.            Crist of-H


Lisez les 3 premières pages du livre en cliquant ici.


Pour vous plonger dans l’univers d’Archipels – Yin, vous trouverez ici en écoute une bande son qui propose un enchaînement d’extraits de textes, de sons d’ambiance et de musiques.

Réalisation et mixage : Michel Lehoux / Lecture : Odile Debacker


Une évocation sonore originale (Un  suenito tan suave), œuvre de Jeehak est à retrouver ici.


Critiques

C’est un exemple-modèle de livre long et touffu dans les broussailles duquel on s’égare avec plaisir, et sans s’y perdre.
Quelle force de l’écriture, quelle ampleur de l’histoire. Quel dénouement. On ne s’ennuie pas un seul instant.

Malie D. (France)