L’échec patent des politiques ultralibérales en temps de crise pandémique (et après)
Le Brésil est "quebrada" affirmait hier Bolsonaro, c'est à dire "fauché", "en faillite". Puis il ajoute : "Je ne peux rien faire". Et pourquoi ne peut-il rien faire ? Sa réponse est cinglante : "À cause de la presse, à cause de ce virus alimenté par la presse, cette presse sans intérêt". Concrètement,…